Réquiem pour les dieux
Make money and forget everything else, but...
Make money and forget everything else.
C’est un thriller familial au sein d’une multinationale qui a pour objet une guerre de succession sourde, mais impitoyable. Charles, veuf et père d’une fille et deux garçons, a bâti un empire économique de produits bios aux multiples ramifications. Derrière les façades de verre de son bureau, il assouvit son désir de puissance. L’argent lui sert d’arme de dissuasion et le chantage de bouclier. Tous les coups lui sont permis pour assoir sa domination tant sur ses concurrents que sur ses enfants.
Sous l’image d’un clan uni, les affrontements sans concessions révèlent les blessures profondes ancrées dès l’enfance. Les conflits émergent et s’exacerbent au fur et à mesure que les perspectives de s’emparer du pouvoir paternel se précisent.
Dans cette lutte fratricide, tous les acteurs du drame se croyaient à l’abri des menaces, mais les évènements extérieurs s’ingénient à bousculer leurs positions et à déjouer les plans d’action soigneusement élaborés.
Une saga qui lève le voile sur le monde économique et financier, prodigue en trahisons, amoral dans ses décisions, brisant l’existence de ses thuriféraires sans états d’âme.
| Genre : | Romance | Langue : | français |
|---|---|---|---|
| Sous-genre : | Contemporain | Sortie : | 1 mai 2022 |
Biographie
Christian Gobyn Degraeve
Pourquoi un ingénieur actif dans le commerce et ayant complété sa formation dans le domaine des ressources humaines, de la communication et du développement personnel en vient-il à entamer la rédaction d’un roman ?
Comme tout un chacun, j’ai fait mes premiers pas littéraires sur les bancs de l’école primaire. Plus tard, durant mes études, j’ai écrit de très nombreuses lettres enflammées aux filles que je rencontrais. Je n’étais jamais à court d’inspiration. Le travail et la vie de famille m’ont détourné de ma passion d’adolescent, mais un dimanche, lors d’une fête locale, j’ai participé par curiosité à une activité liée à l'écriture. Le plaisir de raconter des histoires et de jouer avec les mots ne m'avait pas délaissé. J’ai dès lors poursuivi en composant des poèmes et des nouvelles que je n’avais pas l’intention de publier.
« Tu devrais intégrer un atelier d’écriture roman », me suggéra un jour une amie. J’ai rejoint « Le choc des mots », celui qu’animait Anne Payen à Liège. Ce fut un exercice de longue haleine et un apprentissage dont je n’avais pas idée au départ. J’ai persévéré.
Lorsque j’ai mis un point final provisoire au récit, mon entourage m’a encouragé à le faire imprimer. Un nouveau parcours semé d’embuches, de corrections multiples et quelques fois de lassitude s’ouvrait devant moi, mais j’y suis arrivé.
Aujourd’hui, j'ai entamé la rédaction d'un second roman. J'écris aussi quotidiennement durant une vingtaine de minutes. Ces pages sont, pour moi, l’équivalent des gammes du musicien. À côté de cette passion, je suis comédien et j'ai représenté une quinzaine de pièces de théâtre. Depuis quelques années, je me suis adonné à la photographie, et j’ai exposé mes œuvres que je compte publier dans le courant de l’année prochaine.